Faites des grand-mères,
Les grand - mères, telles des couettes douillettes, Vous entourent de leurs bras affectueux.
Elles sentent bon les parfums capiteux,
La poudre, le cèdre et les tartelettes.
Elles sont toujours prêtes,
A vous recevoir en leur giron,
Dans la chaleur de leurs seins ronds,
Et vous serrer contre leurs formes replètes.
La mienne était toute de lumière,
La blondeur de ses boucles de soie,
La douceur de ses jupes de taffetas,
M'accueillaient naguère à bras ouverts.
Sans elle, demeure une profonde affliction,
Un goût d'inachevé sur ces portraits jaunis.
Si vous n'en avez pas trouvez-vous une mamie.
Il en est tant en manque d'affection.
Elles sentent bon les parfums capiteux,
La poudre, le cèdre et les tartelettes.
Elles sont toujours prêtes,
A vous recevoir en leur giron,
Dans la chaleur de leurs seins ronds,
Et vous serrer contre leurs formes replètes.
La mienne était toute de lumière,
La blondeur de ses boucles de soie,
La douceur de ses jupes de taffetas,
M'accueillaient naguère à bras ouverts.
Sans elle, demeure une profonde affliction,
Un goût d'inachevé sur ces portraits jaunis.
Si vous n'en avez pas trouvez-vous une mamie.
Il en est tant en manque d'affection.