Chacha
Soeur de mon amie,
Je vois et me dis:
Oh, malheur traître!
Quelles douleurs secrètes,
Révèle ton visage?
Quelle souffrance sans âge,
Tu vois à ta fenêtre?
Et comment tu compenses,
L`insoutenable absence,
De cet être à aimer,
D'un dévouement effréné.
A présent, je te dis:
Qui mérite cette vie?
A voir ton être détruit,
Au lieu d'en porter les fruits.
Je t`en prie, il est temps,
Accepte si tu ne comprends,
Une autre chance en aimant.
A nouveau éveille,
La beauté qui sommeille
Tout ce en quoi tu crois est merveille.