La discrète

Publié le par Shaliane

Tendre et noble Marylise,
Tu es l'amie invisible,
Au regard discret et sensible.
Sur ton épaule, à maintes reprises,

Je m'appuyais de chagrin.
Et laissais aller mes pleurs,
Que tu consolais avec douceur.
De cela, jamais tu ne t'es plaint.

A mon tour, quoiqu'il advienne,
J'aimerais être ton rempart,
La gardienne de tes peines,
Une lueur dans le brouillard.

Tu es la femme dont la beauté,
Alliée à une grâce innée,
Est parée de simplicité.

Ton écriture est le miroir,
D'une âme pure et sans fard,
Où se reflètent mille espoirs.

Tu es belle en toutes choses,
Sans le savoir à peine éclose,

Merveilleuse Marylise.

Publié dans Les poemes de Simone

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S
Ce poème n'est pas vraiment régulier (je me permets cette remarque parce que tu l'as placé dans "Sonnets et beaux vers" (longueurs des vers, rimes singulier/pluriel), mais il est très beau, je l'aime énormément. Un magnifique hommage plein de sensibilité<br /> <br /> Toute mon amitié
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S
<br /> Ca y est j'ai planché toute la journée sur le suivant, avec quelques imperfections au profit de l'instinct quand même! Merci des conseils!<br /> <br /> <br />