La discrète
Tendre et noble Marylise,
Tu es l'amie invisible,
Au regard discret et sensible.
Sur ton épaule, à maintes reprises,
Je m'appuyais de chagrin.
Et laissais aller mes pleurs,
Que tu consolais avec douceur.
De cela, jamais tu ne t'es plaint.
A mon tour, quoiqu'il advienne,
J'aimerais être ton rempart,
La gardienne de tes peines,
Une lueur dans le brouillard.
Tu es la femme dont la beauté,
Alliée à une grâce innée,
Est parée de simplicité.
Ton écriture est le miroir,
D'une âme pure et sans fard,
Où se reflètent mille espoirs.
Tu es belle en toutes choses,
Sans le savoir à peine éclose,
Merveilleuse Marylise.
Tu es l'amie invisible,
Au regard discret et sensible.
Sur ton épaule, à maintes reprises,
Je m'appuyais de chagrin.
Et laissais aller mes pleurs,
Que tu consolais avec douceur.
De cela, jamais tu ne t'es plaint.
A mon tour, quoiqu'il advienne,
J'aimerais être ton rempart,
La gardienne de tes peines,
Une lueur dans le brouillard.
Tu es la femme dont la beauté,
Alliée à une grâce innée,
Est parée de simplicité.
Ton écriture est le miroir,
D'une âme pure et sans fard,
Où se reflètent mille espoirs.
Tu es belle en toutes choses,
Sans le savoir à peine éclose,
Merveilleuse Marylise.